Si Vénus avait su

« Avec pas grand-chose et des acteurs épatants, Margaux Eskenazi fait valser cœurs et corps en se fichant pas mal des injonctions à la beauté et à la jeunesse de nos sociétés apeurées par la maladie et le vieillissement. Drôle et régénérant. » 
Fabienne Pascaud, Télérama

« Il se dégage de Si Vénus avait su une belle âme et une grande sincérité (…). Avec une légèreté habilement calculée qui permet d’éviter d’ajouter du pathos à des situations déjà dramatiques, Margaux Eskenazi et Sigrid Carré-Lecoindre parviennent à traiter ce sujet en or avec la plus grande des délicatesses. » 
Vincent Bouquet, Sceneweb

« Dans de beaux enchaînements de numéros chantés ou narrés, alternant humour, poésie et émotion, les deux artistes déploient leur talent pour faire naître une galerie de portraits magnifiques. Ce spectacle aux résonances très fortes, dépose alors sur les cœurs un baume salvateur. C’est beau ! » 
Marie-Céline Nivière, L’Œil d’Olivier

« L’émotion est palpable tout au long de la pièce, elle nous étreint le cœur et les mains, et nous invite in fine à prendre soin de nous, à nous toucher, à nous aimer. Un spectacle dont on ne sort pas indemne, pour le meilleur. »
Charly André Guibaud, La Provence

« Un spectacle profond et tendre (…) qui nous apaise, nous réconcilie et rétablit une confiance en notre corps (…). Ce spectacle est véritablement comme une caresse au corps et à l’âme. »
Jean-Pierre Han, Culture-Tops

“Margaux Eskenazi et Sigrid Carré-Lecoindre ont conçu un spectacle bouleversant sur le rapport à la beauté des hommes et des femmes différents, ou qui ont subi des accidents de la vie. (…) Les situations sont souvent dramatiques mais la mise en scène de Margaux Eskenazi et l’interprétation très sensible des comédiens en font un spectacle dynamique, plein d’énergie et d’espoir.”
Hélène Chevrier, Théâtral magazine

“Ce que le spectacle parvient à nous faire ainsi saisir, c’est que le soin de l’apparence n’est pas une coquetterie, mais un besoin essentiel, une façon de refuser d’être dépris de soi par la maladie ou la machine hospitalière. Il le fait de manière humaine en apportant beaucoup de soin, justement, au rapport avec le public, en le prenant réellement en compte. Si Vénus avait su alterne moments d’émotion, ponctuations comiques et participations du public. De cette manière, le propos délicat et parfois âpre devient audible : on prend aussi soin de nous.”
Laura Plas, Les trois coups 

“Interprété par Chloé Bonifay et Laurent Deve, le texte a soulevé des rires, fait couler des larmes et embarqué le public dans un tourbillon d’émotions en évoquant des drames avec légèreté. “Il faut de la joie pour parler de la mort” a conclu la collaboratrice artistique de la troupe (…)”
M.B., L’Est Républicain